Morceaux choisis :

Cette présentation de l'Uniforme et de l'Armement des combattants de l'Armée des Pyrénées du Maréchal Jean de Dieu Soult, duc de Dalmatie, et de l'Armée des Alliés de Sir Arthur Wellesley, Field-Marshal Wellington, dans le cadre de la Guerre d'Indépendance de l'Espagne - 1808-1814 - apparaît ici comme un complément aux deux journées de commémoration du passage de ces armées, les 26 juillet 2014 et 24 septembre 2016, à Vic-en-Bigorre (Hautes-Pyrénées).

Il faut considérer cette présentation comme un outil pédagogique. Et comment traduire fidèlement cet esprit particulier si ce n'est par la représentation des combattants à pied ou à cheval des deux armées, incarnés par les figurines des collections Atlas (2001), DelPrado (2003), Hachette (2004-2017-2018), achetées chez mon buraliste. Ces personnages, collections, numéros de fascicules, sont toujours mentionnés pour les figurines exposées.

Depuis le dernier de mes trois ouvrages publiés sur la bataille de Vic-en-Bigorre : « Soult dans les Pyrénées ou la retraite des sans-souliers » (2000), « Soult et Wellington dans les Pyrénées - 1813-1814 » (2004-2007) et « Guerre d’Espagne et des Pyrénées - 1813-1814 - Correspondances » (2010), des lecteurs passionnés de l’Empire m’ont demandé de bien vouloir revisiter cette bataille. Pour cette nouvelle présentation historique du combat vicquois, j’ai donc introduit les chatoyantes couleurs des tenues militaires des principaux personnages et des combattants passés, à pied, dans notre Ville ou sur leurs chevaux dans nos champs et nos vignes de hautains.

J’espère que cette nouvelle « Bataille Impériale » de Vic-en-Bigorre satisfera ces amoureux de l’Empire.

Uniformes et armements des combattants de l'Armée des Pyrénées du Maréchal Jean de Dieu Soult, duc de Dalmatie, poursuivie par l'Armée des Alliés d’Arthur Wellesley, Field-Marshal Wellington, sont au cœur de cet ouvrage sur l’approche et la traversée de Vic-en-Bigorre par des combattants qui offrirent leur sang et leur vie pour la gloire de l’Empereur. Passionnés de l’Empire, l’auteur a revisité cette bataille et répondu de manière originale à votre demande.

Sous l’Empereur, les tenues militaires sont chatoyantes, l’armement adapté. Chaque division, brigade, régiment, escadron de cavalerie, commandant d’unité, exige une discipline de tous les instants dans le respect de la tradition, de la mémoire d’une figure, d’un chef… Dans cette sanglante traversée vicquoise, le temps d’un combat - 13h-18h - on est frappé par l’ardeur des combattants impériaux qui pourtant subissent une retraite humiliante depuis Vitoria.

Les chefs : Lieutenants généraux, Généraux de divisions, brigades, régiments, qui, pour certains, feront une brillante fin de carrière, eurent à cœur de se conformer aux ordres du Maréchal Jean-de-Dieu Soult et, particulièrement, de ne jamais être contourné sur leur aile gauche, côté flanc pyrénéen, au risque majeur d’être rejeté vers « la grande lande ». Ils firent face, héroïques, malgré un déséquilibre numérique flagrant : 52000 hommes pour Wellington, 27600 hommes pour le Duc de Dalmatie.

Ouvrages couvertures